État du secteur : Une mise au point de la part de notre PDG

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Dans le monde entier, nous avons tous ressenti l'impact de la pandémie de COVID-19. Aux États-Unis, où se trouve le siège d'Oliver, nous avons vraiment commencé à en constater les effets fin février/début mars. Presque tous les grands secteurs économiques ont été touchés par la pandémie, et celui de la santé a connu de profonds changements. Le personnel soignant dans le monde entier se bat héroïquement contre le COVID-19 sur la ligne de front. Les grands laboratoires pharmaceutiques travaillent d'arrache-pied pour mettre au point un vaccin qui permettra d'enrayer la propagation du virus. Et des entreprises comme Oliver veillent à ce que la chaîne d'approvisionnement médicale soit toujours fournie et prête à soutenir le secteur.

Le plus grand changement a peut-être été le ralentissement des interventions médicales facultatives, qui ont beaucoup baissé au cours du printemps et de l'été. Ce qui est intéressant avec le terme « facultatives », c'est que beaucoup de ces interventions ne sont pas réellement « facultatives ». On les définit plutôt comme des interventions non urgentes qui peuvent être retardées jusqu'à 30 jours sans impact négatif sur l'issue pour le patient. Les opérations facultatives ont lentement progressé au cours des derniers mois, les hôpitaux ayant mis en place des mesures pour contenir les cas de COVID. Les interventions facultatives sont actuellement à environ 70 % de leur volume pré-COVID et devraient revenir à près de 100 % d'ici la fin de l'année, ce qui est une bonne nouvelle pour les patients. La plupart des hôpitaux anticipent une deuxième vague d'infections au COVID en automne ou en hiver et prennent des mesures pour gérer en toute sécurité les patients atteints du COVID, tout en continuant à pratiquer des interventions non urgentes.

Covid-19 Update

Le marché américain a mis plus de temps à rebondir que d'autres régions du monde comme l'Europe et l'Asie. Cela est dû en grande partie aux différences de traitement du COVID-19 d'une région à une autre et d'un pays à un autre. Aux États-Unis, de nombreuses personnes se sont abstenues de consulter un médecin depuis le début de la pandémie. En Chine, les hôpitaux numériques, ce qu’on appelle communément la télésanté, s'ouvrent à un rythme rapide avec pour objectif de traiter 270 millions de patients par téléphone et par Internet. De telles tendances s'accélèrent dans le monde entier en raison du COVID et auront sans aucun doute un impact sur les soins de santé, y compris les secteurs associés tels que l'emballage.

Un autre changement majeur dans le secteur est lié à la production de vaccins. Les entreprises du monde entier se sont lancées dans une course pour trouver un vaccin contre le COVID. Dans des circonstances normales, l'approbation d'un vaccin comme celui qui est proposé pour le COVID-19 peut prendre jusqu'à 7 à 8 ans. Le calendrier a été considérablement raccourci mais les entreprises pharmaceutiques comprennent que la sécurité et l'efficacité sont les aspects les plus importants de la mise sur le marché d'un nouveau vaccin. L'engagement récent Stand With Science est un signe encourageant pour continuer dans un équilibre entre rapidité et sécurité des patients et confiance du public dans les vaccins.

Une partie de cet engagement de sécurité devrait inclure l'innovation en matière d'emballage nécessaire pour distribuer un vaccin à un grand nombre de patients. Par exemple, les premiers vaccins nécessitent des doses multiples pour générer une réponse immunitaire appropriée et doivent être expédiés et stockés à des températures très froides, ce qui en rend la distribution difficile et coûteuse. Les vaccins de la prochaine génération sont susceptibles de rester stables à température ambiante et pourraient inclure d'autres méthodes d'administration comme les sprays nasaux ou les patchs transdermiques. Ces innovations simplifient la distribution et permettent au vaccin d'atteindre un plus grand nombre de patients, en particulier dans les pays en développement, où l'absence d'un réseau de distribution avec chaîne du froid limite l'accès aux produits qui en ont besoin.

Oliver est en bonne position pour contribuer à l'innovation en matière d'emballage qui répondra à la distribution des vaccins. Nous nous concentrons désormais sur l'application de solutions connues aux problèmes de rupture de la chaîne du froid et de stabilité à température ambiante. Nous savons que chaque procédé de distribution doit être examiné afin d'utiliser des solutions éprouvées adaptables à grande échelle rapidement, et nous sommes prêts à travailler avec les clients pour concevoir les solutions d'emballage optimales nécessaires pour les premières et les futures générations de vaccins. La lutte contre le COVID-19 n'est pas terminée, mais alors que nous nous rapprochons de la production en masse d'un vaccin, Oliver est prête à apporter sa contribution. 

Mise à jour sur le COVID-19 MARS

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